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rien à signaler

Le bal des courageux
  • site-icon19 février 2021 —
  • par site-icon
opera-comedie-montpellier

Depuis la réception de l'avis de fin d'information du 4 janvier dont il est fait état dans ce billet bien instructif du mois dernier, il ne s'est rien passé, à ma connaissance. Le procureur dispose de 3 mois pour faire ses réquisitions à la juge d'instruction, donc jusqu'au 4 avril 2021 normalement. Passé ce délai, la juge décidera soit d'un non-lieu (pas de procès), soit d'un renvoi devant un tribunal (un procès). Dans tous les cas, si je suis informé de quoi que ce soit, je le mentionnerai dans ce journal. Sauf imprévu ou idée lumineuse, le prochain billet sera publié le 20 mars prochain.

Toujours écarté de la vérité

La juge me refuse toujours l'accès au dossier d'enquête malgré ma demande reçue le 17 avril 2019. C'est bien dommage parce que cela m'aurait permis de savoir enfin avec certitude si la policière visée par ma plainte est bien celle qui se serait suicidée le 18 avril au matin, soit le lendemain. Peu de chances que ce ne soit pas le cas mais savoir pour de bon n'est pas rien.

Et la tombe du fiasco inconnu?

La tombe du fiasco inconnu, c'est la drôle d'idée esquissée à la fin de ce billet. Il vaut mieux en rire qu'en pleurer parce qu'après tout, rien ne vaut la peine d'être pris trop au sérieux. Planter des graines ou lancer des bouteilles à la mer, c'est bien les seules choses qui restent à faire pour garder espoir. Et l'espoir fait vivre.

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Points de repère...
Palais-justice-Montpellier
L'auteur de ce journal est le créateur de ce site.
► Victime d'un fiasco judiciaire (ayant débuté le 11 décembre 2017 à Montpellier, par une enquête policière trafiquée et bâclée) et ayant injustement passé 4 mois de prison (du 13 décembre 2017 au 17 avril 2018) pour des faits imaginaires ("menaces de mort", accusation formulée par un couple: un islamiste, Adel Mendi, et sa compagne, Marion Mas), il réclame désormais publiquement justice (via ce site) –après avoir constaté que la discrétion ne mène à rien.
► Depuis le 28 mai 2018 (après sa libération), bien qu'ayant initié lui-même l'action judiciaire et apporté les preuves de son innocence, il est bien gentiment tenu à l'écart de la vérité (qu'il a contribué à faire émerger) par les autorités judiciaires.
La vérité, surtout lorsqu'elle est gênante, n'est pas trop pressée de voir le grand jour.
► Est-ce un hasard?
— 17 avril 2019: un courrier recommandé (envoyé par l'auteur à la juge) pour connaître l'identité de la policière malhonnête ayant falsifié le dossier d'enquête arrive au tribunal de Montpellier,
— 18 avril 2019: une capitaine de police se suicide au commissariat central de Montpellier.
► En septembre 2020 (soit après 2 années d'action judiciaire infructueuse), la décision est prise de lancer le site afin de rendre public le fiasco et son contexte (toujours d'actualité malgré les belles annonces politiques, qui ne sont que de la poudre aux yeux).
► Ne cherchant pas à se faire mousser, l'auteur souhaite garder un anonymat partiel. site-icon sera donc suffisant pour tout le monde.
► Il remercie au passage son ancien avocat de lui avoir appris ce qu'est la trahison. Comme quoi, une robe et un beau serment ne sont la garantie de rien.
► Amalgames et généralisations sur quiconque sont déconseillés, le vice (ou la vertu) peut apparaître partout.