17 décembre 2020 — 
1fois par semaine, par mois ou par année? Combien de fois faudra-t-il nourrir ce journal?
Et qu'y mettre dedans? Il faut bien tenir à jour ce site plutôt bien peaufiné qui m'a coûté tant d'heures de travail.
Mais j'avoue être en panne d'inspiration, il ne se passe rien judiciairement, l'essentiel a été dit dans mes doux articles...
Ah oui... ça fait désormais plus de 3 ans que le fiasco a débuté, avec un premier procès (au tribunal judiciaire de Montpellier) le 13 décembre 2017 qui m'a condamné à 12 mois ferme (avec prison immédiate) puis un procès en appel (cour d'appel de Montpellier) qui a abaissé à 4 mois ferme, pour menaces de mort. De 12 mois à 4 mois, ou comment corriger une bourde tout en sauvant la face à la justice. C'est tout simplement du grand n'importe quoi: soit je suis coupable et dans ce cas, on met la dose, soit c'est non et dans ce cas c'est la relaxe.
Et depuis le 28 mai 2018, date de réception de ma plainte au parquet de Montpellier (avec preuves de falsification de l'enquête), c'est silence radio depuis maintenant plus de 2 ans. La plainte avec constitution de partie civile (auprès d'une juge d'instruction), déposée le 18 octobre 2018 pour dénoncer aussi la falsification de l'enquête et passer outre l'inaction du procureur, brille elle aussi par son absence de réaction. On soulignera que la demande de première audition, afin d'accéder au dossier d'enquête, a été reçue le 17 avril 2019 au tribunal et que le 18 avril, soit le lendemain matin, une capitaine de police se suicidait (thèse dominante) au commissariat de Montpellier.
Paris a sa tombe du soldat inconnu, à Montpellier il se
pourrait bien qu'une tombe du fiasco inconnu soit installée et inaugurée d'ici peu. En plus, notre arc de triomphe est situé
pile-poil à côté de la cour d'appel, comme par hasard. Il faudrait que je me penche sérieusement sur l'aspect artistique
du monument.
Je ne sais pas pourquoi mais je sens que beaucoup de magistrats et d'avocats
seraient certainement très chauds pour m'aider à financer ce projet et le soutenir politiquement. Tout cela mérite donc réflexion.
► Victime d'un fiasco judiciaire (ayant débuté le 11 décembre 2017 à Montpellier, par une enquête policière trafiquée et bâclée) et ayant injustement passé 4 mois de prison (du 13 décembre 2017 au 17 avril 2018) pour des faits imaginaires ("menaces de mort", accusation formulée par un couple: un islamiste, Adel Mendi, et sa compagne, Marion Mas), il réclame désormais publiquement justice (via ce site) –après avoir constaté que la discrétion ne mène à rien.
► Depuis le 28 mai 2018 (après sa libération), bien qu'ayant initié lui-même l'action judiciaire et apporté les preuves de son innocence, il est bien gentiment tenu à l'écart de la vérité (qu'il a contribué à faire émerger) par les autorités judiciaires.
La vérité, surtout lorsqu'elle est gênante, n'est pas trop pressée de voir le grand jour.
► Est-ce un hasard?
— 17 avril 2019: un courrier recommandé (envoyé par l'auteur à la juge) pour connaître l'identité de la policière malhonnête ayant falsifié le dossier d'enquête arrive au tribunal de Montpellier,
— 18 avril 2019: une capitaine de police se suicide au commissariat central de Montpellier.
► En septembre 2020 (soit après 2 années d'action judiciaire infructueuse), la décision est prise de lancer le site afin de rendre public le fiasco et son contexte (toujours d'actualité malgré les belles annonces politiques, qui ne sont que de la poudre aux yeux).
► Ne cherchant pas à se faire mousser, l'auteur souhaite garder un anonymat partiel.
sera donc suffisant pour tout le monde.► Il remercie au passage son ancien avocat de lui avoir appris ce qu'est la trahison. Comme quoi, une robe et un beau serment ne sont la garantie de rien.
► Amalgames et généralisations sur quiconque sont déconseillés, le vice (ou la vertu) peut apparaître partout.