— 2018 - 2025 : 7 ans —

anniversaire

4 ans désormais
  • site-icon17 avril 2022 —
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C'est un jour particulier aujourd'hui. L'anniversaire de la libération et de l'arrivée du courrier, avec un an d'écart entre les deux. Peut-être qu'un jour je publierai la copie du courrier que j'ai envoyé à la juge; j'ai l'original numérique du document, avec date de création et d'enregistrement pour impression. C'est dingue comme ces outils numériques peuvent nous fliquer sur tout et n'importe quoi... on appelle ça les métadonnées et elles sont maintenant partout. J'ai beau ne pas être un amateur dans le domaine mais ça m'impressionne toujours autant. Depuis que je me suis mis à la programmation informatique pour créer ce site, j'en apprends pas mal. Il m'a fallu 16 lignes de code JavaScript rien que pour les effets spéciaux de la page que vous consultez là, à l'ouverture et après. Cliquez deux fois de suite sur le titre du billet en haut ou sur l'image encadrée et vous verrez bien. Ah... si seulement il suffisait d'une ligne de code pour mettre fin aux injustices ou à la guerre... Je serais devenu pirate informatique sans hésiter. Bye bye les études d'art ou de droit.

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N.B.: Sauf événement notable ou réveil de la tortue judiciaire entre-temps, le prochain billet sera publié un 18 (mai, juin, juillet, août ou plus loin...). Un gentil commentaire ou une méchante remarque à partager ? Ecrivez à auteur@fiascojudiciaire.fr (lecture et réponse non garanties)

Points de repère...
Palais-justice-Montpellier
L'auteur de ce journal est le créateur de ce site.
► Victime d'un fiasco judiciaire (ayant débuté le 11 décembre 2017 à Montpellier, par une enquête policière trafiquée et bâclée) et ayant injustement passé 4 mois de prison (du 13 décembre 2017 au 17 avril 2018) pour des faits imaginaires ("menaces de mort", accusation formulée par un couple: un islamiste, Adel Mendi, et sa compagne, Marion Mas), il réclame désormais publiquement justice (via ce site) –après avoir constaté que la discrétion ne mène à rien.
► Depuis le 28 mai 2018 (après sa libération), bien qu'ayant initié lui-même l'action judiciaire et apporté les preuves de son innocence, il est bien gentiment tenu à l'écart de la vérité (qu'il a contribué à faire émerger) par les autorités judiciaires.
La vérité, surtout lorsqu'elle est gênante, n'est pas trop pressée de voir le grand jour.
► Est-ce un hasard?
— 17 avril 2019: un courrier recommandé (envoyé par l'auteur à la juge) pour connaître l'identité de la policière malhonnête ayant falsifié le dossier d'enquête arrive au tribunal de Montpellier,
— 18 avril 2019: une capitaine de police se suicide au commissariat central de Montpellier.
► En septembre 2020 (soit après 2 années d'action judiciaire infructueuse), la décision est prise de lancer le site afin de rendre public le fiasco et son contexte (toujours d'actualité malgré les belles annonces politiques, qui ne sont que de la poudre aux yeux).
► Ne cherchant pas à se faire mousser, l'auteur souhaite garder un anonymat partiel. site-icon sera donc suffisant pour tout le monde.
► Il remercie au passage son ancien avocat de lui avoir appris ce qu'est la trahison. Comme quoi, une robe et un beau serment ne sont la garantie de rien.
► Amalgames et généralisations sur quiconque sont déconseillés, le vice (ou la vertu) peut apparaître partout.