5ans se sont écoulés et je ne suis plus à Montpellier depuis un bout de temps maintenant. J'écris sur ce site plutôt tard la nuit, vers minuit. Il faudrait que j'aille vers une grande ville, comme Toulouse en haut, par exemple. J'y vais souvent les week-end et c'est beaucoup mieux que Montpellier, à mon avis. Tout est tellement plus différent là-bas.
Demain, ce sera l'anniversaire d'un événement bien important au commissariat de Montpellier. Mais bon, il faut croire que les gens ont la mémoire courte et oublient très rapidement ce qui gêne la conscience... On fait un grand rassemblement sous le coup de l'émotion, et hop, on oublie tout et on passe à autre chose.
Société amnésique, qui passe son temps à tout oublier. Bon, il faut que j'aille dormir parce que j'ai bien des choses à faire demain. Un événement à fêter ?
N.B.: Sauf événement notable ou réveil de la tortue judiciaire entre-temps, le prochain billet sera publié un 18 (mai, juin, juillet ou août...). Un gentil commentaire ou une méchante remarque à partager ? Ecrivez à auteur@fiascojudiciaire.fr (lecture et réponse non garanties)
► Victime d'un fiasco judiciaire (ayant débuté le 11 décembre 2017 à Montpellier, par une enquête policière trafiquée et bâclée) et ayant injustement passé 4 mois de prison (du 13 décembre 2017 au 17 avril 2018) pour des faits imaginaires ("menaces de mort", accusation formulée par un couple: un islamiste, Adel Mendi, et sa compagne, Marion Mas), il réclame désormais publiquement justice (via ce site) –après avoir constaté que la discrétion ne mène à rien.
► Depuis le 28 mai 2018 (après sa libération), bien qu'ayant initié lui-même l'action judiciaire et apporté les preuves de son innocence, il est bien gentiment tenu à l'écart de la vérité (qu'il a contribué à faire émerger) par les autorités judiciaires.
La vérité, surtout lorsqu'elle est gênante, n'est pas trop pressée de voir le grand jour.
► Est-ce un hasard?
— 17 avril 2019: un courrier recommandé (envoyé par l'auteur à la juge) pour connaître l'identité de la policière malhonnête ayant falsifié le dossier d'enquête arrive au tribunal de Montpellier,
— 18 avril 2019: une capitaine de police se suicide au commissariat central de Montpellier.
► En septembre 2020 (soit après 2 années d'action judiciaire infructueuse), la décision est prise de lancer le site afin de rendre public le fiasco et son contexte (toujours d'actualité malgré les belles annonces politiques, qui ne sont que de la poudre aux yeux).
► Ne cherchant pas à se faire mousser, l'auteur souhaite garder un anonymat partiel. sera donc suffisant pour tout le monde.
► Il remercie au passage son ancien avocat de lui avoir appris ce qu'est la trahison. Comme quoi, une robe et un beau serment ne sont la garantie de rien.
► Amalgames et généralisations sur quiconque sont déconseillés, le vice (ou la vertu) peut apparaître partout.